mercredi 30 septembre 2015

Toutes les bonnes choses ont une fin

Ma vie en France a reprit son cours... Je n'oublierai jamais ce que j'ai pu vivre au Japon. 

J'ai beaucoup aimé tenir ce blog pendant mon voyage, et c'était très pratique pour informer tout le monde en même temps ! Seulement, il arrive que la plateforme de blog connaisse des bugs... après quelques semaines/mois sans activité, toutes mes photos pourraient bien disparaître du jour au lendemain. Si cela venait à se produire, je n'aurai sans doute pas le courage de les remettre en ligne une par une...

Aussi, j'ai regroupé mes photos préférées et quelques très courts textes dans un album photo... Le voici !



Vous pouvez l'acheter si vous le souhaitez. J'ai déjà reçu un premier exemplaire (un brouillon), et suis assez satisfaite de la qualité des tirages. 

Blurb propose de vendre des livres en choisissant librement les bénéfices que l'on souhaite faire sur chaque livre. Pour cet album, qui est tiré de mon blog, j'ai souhaité garder les prix les plus bas possibles : je ne toucherai rien ! 

Au total, 3 formats sont disponibles : avec une couverture souple, rigide, ou avec une jaquette. La couverture rigide est un peu plus onéreuse que les deux autres, mais c'est mon format préféré. 

Si vous achetez un album, dites-le moi ! Et si vous aussi, vous souhaitez vous lancer dans la réalisation d'un livre photo en ligne, ce serait un plaisir de vous aider ! :-)

lundi 21 septembre 2015

C'est fini !

Mon voyage se termine aujourd'hui. Je partirai tôt le matin par avion pour rejoindre Tokyo, où j'attendrai un deuxième avion qui me ramènera à Paris. Il me restera encore un dernier avion pour retourner à Bordeaux, et finalement un peu de voiture pour enfin arriver à Angoulême. 

L'intégralité de mon périple devrait prendre une bonne vingtaine d'heure, ce qui est difficile quand on change d'heure et que l'on doit veiller sur une grosse valise et un gros sac !

J'espère que mes aventures vous auront plu. J'ai beaucoup aimé vous faire voyager un peu avec moi, dans ce pays extraordinaire qu'est le Japon. Un petit bout de mon cœur restera ici pour toujours, c'est certain. 

Il est maintenant temps pour moi de tourner la page. A très bientôt, j'ai hâte de vous revoir en chair et en os !

mardi 15 septembre 2015

Shakotan

J'ai eu la chance, au début de mon stage, de rencontrer Risa. C'est elle qui a organisé la plupart des voyages en groupe auxquels j'ai pu participer pendant les mois d'Août et Septembre. Les voyages en train coûtent chers, et les rails ne traversent pas toujours les villes que l'on souhaite visiter. Risa nous a toujours trouvé des voitures, ce qui revenait à diminuer les coûts par 10 pour certains endroits ! Sans elle, je n'aurai jamais visiter le lac Shikotsu, ni les champs defleurs d'Hokuryu… ni la baie de Shakotan.

(sans plus attendre, la meilleure vue de Shakotan)

Je pense que les photos se suffiront à elles-mêmes, nul besoin de commenter.

(le chemin : ça grimpe sur les rochers!)

(et la mer…)

La couleur de la mer est si vive que, pour les japonais, cette couleur bleue s'appelle 'Bleu Shakotan'.
Nous avions quitter Sapporo sous la pluie, et avons été bien chanceux de profiter des rayons du Soleil pour cette journée en bord de mer.

(petit coin tranquille en bord de mer)

L'après-midi s'est poursuivit par un barbecue sauvage sur une petite plage de galets. En plus de la traditionnelle viande grillée, pommes de terre, patates douces, pousses de soja et feuilles de choux étaient au menu.

(une partie du repas en train de cuire sur un foyer de fortune)

Les plus courageux se sont baignés malgré le froid qui fait son retour en ce début d'automne (oui oui, ici, l'été est déjà terminé). Quelques aventureux (dont moi) ont décidé d'escalader des barrières en béton et de ramper sous un reste de bâtiment pour accéder à une plage sauvage.

Sauvage, pas tant que ça finalement…

(quelle ne fut pas notre surprise de trouver ça ici…)

Cette sortie est probablement la dernière avant mon retour en France… Risa a quitté le Japon pour la Chine, et la plupart de mes amis européens sont rentrés chez eux.


J'essaye maintenant de savourer chaque petite chose du quotidien : mon heure de vélo pour aller et revenir de l'école, l'eau trop chaude des onsens, le silence de la ville en plein milieu de journée, le calme et la sécurité des sorties nocturnes...

samedi 12 septembre 2015

La TV Tower

La Tour de télévision, si célèbre à Sapporo… Vous aviez pu l'apercevoir dans un de mes tout premiers articles, alors que je commençais juste à vadrouiller dans la ville. 

(la tour vue d'en bas)

Cette tour est utilisée pour retransmettre la télévision (et également pour afficher l'heure). Mais, comme chaque chose au Japon, tout a été fait pour la transformer en un véritable business : visite payante de l'observatoire, restaurant et salles à louer à l'étage, et des centaines de goodies à son effigie (ou plutôt, à l'effigie de Terebi-Tōsan (littéralement, le père de la télévision), un personnage masculin censé lui ressembler…).

(peluches, porte-clefs, badges, chaussettes… la tour existe sous tellement de formes!)

(un temple à son honneur existe même au dernier étage!)

L'observatoire permet une observation de la ville à 360°. Son avantage, par rapport à la JR Tower, c'est que l'on peut voir tout le parc Odori, et même jusqu'à la piste de saut à Ski.

(le parc depuis la tour… la piste de ski est visible dans les montagnes)


Je crois que l'observatoire de la tour, si petit qu'il soit, est l'un de mes endroits préférés.

mercredi 9 septembre 2015

La grande vadrouille, partie 2

Dur dur de se réveiller en début de matinée ! Et pourtant, il faut quitter l'hôtel rapidement le matin. Nous avons une heure pour nous préparer et prendre le petit déjeuner dans le restaurant de l'hôtel.

Le petit-déj, parlons-en : il était typiquement japonais, c'est à dire composé de plusieurs petits plats salés. Petits légumes cuits, riz, omelette, tofu et… natto, ces graines de soja fermentées. Vous avez pu en voir dans une de mes vidéos. Pour ma plus grande surprise, quand il est bien assaisonné, le natto est presque bon. Il était impératif que je mange un maximum : une randonnée de quelques heures est au programme !

De nouveau dans la voiture, et la route était difficile : il fallait grimper un peu sur la montagne, en passant par des chemins de cailloux, troués de nids de poules… Enfin, le parking est là, la rando peut commencer !

Je n'ai pas beaucoup randonné auparavant. Mais là, c'était bien la rando la plus difficile que j'ai pu faire de ma vie : grimper une montagne au cœur d'une forêt dense, entre les torrents et les rochers glissants… et n'ayant pour souliers que des petites tennis en toile.

(même depuis la forêt, le paysage valait le coup d’œil)

(une cascade en contre-bas)

Et quelle surprise en arrivant au sommet : un gigantesque marais s'étendait devant nous, à perte de vue !

(aperçu du marais… d'une incroyable couleur jaune-vert)

(le chemin de bois nous permettant d'explorer ce lieu)

(et tellement de fleurs de toutes les couleurs…)

La randonnée a duré bien plus longtemps que prévu (plusieurs heures au lieu de 2), aussi le reste de la journée a été écourté. Nous avons fini l'après-midi dans un grand bain public au bord d'une voie expresse, quel soulagement après avoir passé des heures à suer dans la boue ! Cette fois ci, l'onsen disposait d'un bain extérieur, dont l'eau était colorée en marron à cause de petits morceaux de fleurs flottants.

Le séjour fut un peu mouvementé (nous nous sommes arrêtés plusieurs fois dans des fermes, juste pour quelques minutes, parce que le professeur faisait un tour des installations), mais j'ai vraiment apprécié ces moments très « Japon traditionnel ». C'était aussi la première fois que je voyais les renards d'Hokkaido (dont tout le monde parle), ainsi que des minuscules grenouilles vertes qui peuplent les bois des environs.

J'espère que ces articles, assez pauvres en photos, vous aurons tout de même plus !


Mon voyage s'approche de sa fin. Le rythme du blog va ralentir, et s'arrêtera doucement après mon retour en France. Je publierai sans doute quelques photos et vidéos inédites quand je serai de retour à la maison. A bientôt !

dimanche 6 septembre 2015

La grande vadrouille, partie 1

Depuis environ deux mois, le petit laboratoire dans lequel je me trouve prévoyait un séjour pour fêter la fin des études des Master 2. Ce séjour est finalement passé, il faut que je vous raconte tout ça !

Nous sommes donc partis pendant 2 jours. Le premier jour sera raconté dans cet article.

La première matinée a été consacrée à regrouper tout le monde dans les deux voitures à disposition. En parlant des voitures : ici, la ceinture de sécurité n'est pas obligatoire en ville… et finalement, même sur les voies expresses, presque personne ne la met. D'ailleurs, la fourgonnette de location que nous avions n'en était même pas pourvue ! (C'était très angoissant pour moi!)

Nous avons fini, après plus de 2h, par prendre la route pour une sorte de « golf », avec de grosses balles multicolores. Nous avons joué jusqu'en début d'après-midi.

Nous avons déjeuné dans un restaurant de ramens (une variété de nouilles). Puis la route a recommencée, en direction de notre hôtel… Et quel hôtel ! Typiquement japonais, le sol des chambres est couvert de tatamis, et les tables sont toutes très basses.

(la chambre que j'ai partagée avec deux autres filles)

J'ai pu me rendre dans un onsen pour la première fois. Les onsens sont les bains publics japonais. Ils étaient utilisés autrefois, car tout le monde n'avait pas de salle de bain. Leur particularité, c'est que l'on s'y rend… complètement nu. Hommes et femmes sont (très souvent) séparés, mais c'était tout de même très très bizarre pour moi.
Des deux onsens que j'ai pu visiter, il semblerait qu'il y ait toujours un grand bain chaud, un petit bain froid, et un bain chaud à remous.

(évidemment, comme personne n'est habillé, les photos des onsens ne sont pas autorisées...)

Nous avons pris le dîner sur une immense table basse, et nous étions tous habillés en yukata ! L'ambiance était extraordinaire. Nous avons mangé tout plein de petits plats, dont un était en train de cuire au-dessus des petites lanternes de table.

(aperçu de mon repas… végétarien!)

(le yukata unisexe prêté par l'hôtel… cette tenue a largement contribué à l'ambiance)

La suite de la soirée s'est déroulée dans une autre pièce, plus petite, où bière et snacks (sucrés comme salés) étaient proposés en abondance. Si la plupart des messieurs présents étaient bien échauffés par la bière, quelques uns se sont endormis sur le sol…Après des heures de conversations (quasiment uniquement en japonais), nous avons rejoins notre chambre au milieu de la nuit.

(nous avons dormi sur des futons, ces matelas fins et durs)



La suite bientôt !

jeudi 3 septembre 2015

La monnaie japonaise : le yen

La monnaie utilisée au Japon est le Yen. Sa valeur n'est pas du tout la même que celle des euros : ¥100 correspondent environ à 0,70€ à l'heure actuelle.

Presque tous les prix sont indiqués en chiffres arabes, notamment sur les pièces. Quand on est étranger, c'est donc assez facile de payer et de vérifier la monnaie que l'on nous rend. Mais les japonais sont honnêtes, pas d'inquiétude !

Nous étrangers, nous écrivons « ¥ » alors qu'au Japon on utilise aussi «».

(Billets de 1000 et 5000 Yens...)

Voici un aperçu de quelques pièces. Celles avec un trou au centre correspondent à celles ayant un chiffre 5 (telles que 5, 50円…).

En cuivre, les pièces de 10. En doré, celles de 5. Les autres sont toutes argentés. Il n'existe pas de pièce de 2 ou 20 yens, ni de billets de 2000. 


(pile...)

 (...ou face ?)


Comme vous pouvez le constater, sur certaines pièces la valeur est écrit uniquement en japonais. 
Par exemple : 五円 = ¥5 !
Et voici d'un peu plus près mes pièces préférées : j'adore leurs dessins de fleurs !

(elles sont jolies les p'tites pièces !)

mardi 1 septembre 2015

Le lac des cygnes

J'ai de la chance : pendant le mois d'août, l'école d'ingénieur ferme ses portes durant quelques jours. Tout mon laboratoire (ou presque) est parti en vacances. J'ai donc eu un peu de temps pour sortir avec mes amis ! Nous avions commencé par nous rendre à Noboribetsu, souvenez-vous.



Le lendemain, c'est notre super copine japonaise qui a trouvé une voiture avec suffisamment de places pour 8 personnes, et qui nous a conduit jusqu'au lac Shikotsu. Merci Risa !

(le lac Shikotsu)

Il ne s'agit pas d'un lac ordinaire : en effet, celui-ci a été créé à la suite d'éruptions volcaniques… puisqu'il est toujours entouré par 3 volcans ! Sa superficie est impressionnante : 78 km !

(vue sur le volcan le plus proche du lac : le mont Fuppushi)

J'avais pu voir, sur des cartes postales, qu'il est possible de faire du pédalo-cygne… ce dont j'ai toujours rêvé ! Et nous en avons fait : nous nous sommes séparés en deux équipes et nous sommes élancés à toutes vitesses sur le lac. Il y avait bien plus de vagues ici que lorsque j'ai pu voir la mer en passant par Otaru !

(les cygnes attendant les touristes)

(une de nos embarcations)

Les heures qui ont suivi, nous avons été fainéants : bronzette et baignade pour les amis japonais et moi, petite rando pour les autres. La très petite plage qui longe le lac est très sauvage, j'y ai même découvert l'énorme carcasse d'une biche ! Les galets fourmillaient de petits bouts de verre, comme j'aime tant en ramasser (des bleus et des marrons, rien à voir avec la majorité de vert que l'on retrouve sur nos plages françaises).

(petit coin de paradis sauvage)

Pour terminer, nous avons essayé d'atteindre le sommet d'une colline voisine, sans succès : il avait beaucoup plu la veille, et les chemins étaient bloqués. Nous avons du rebrousser chemin rapidement.

(en montant la colline : le dénivelé est très impressionnant)

Encore une chouette journée, et encore un paysage qui valait le détour !

(mon lac des cygnes à moi)

samedi 29 août 2015

Le Mont Moiwa

Si la ville de Sapporo est relativement plate, elle est pourtant entourée de nombreuses montagnes. Le Mont Moiwa est l'un des plus proches et des plus hauts.

Avec mon ami, nous avions décidé depuis longtemps de le visiter. C'est enfin chose faite !

Nous nous sommes rendu sur place en vélo, ce qui nous a pris plus d'une heure. Sur le chemin, nous avons croisé un temple. Je l'avais déjà visité auparavant, mais je n'ai sans doute pas poster de photos. Alors, les voilà !

(les différentes portes à passer avant d'accéder au temple)

(le temple au toit rouge)

Nous avons ensuite repris la direction de Moiwa. Le sommet est deux fois plus haut que celui de Maruyama : on se sent plus loin de la ville, mais aussi bien plus haut.

Comme nous avions fait lors de notre visite de la JR Tower, nous sommes venus en fin d'après-midi pour pouvoir ensuite profiter de la vue de nuit.

(vue sur Sapporo)

(vue sur les montagnes, à l'opposée de la ville)

(le diamant, la sculpture emblématique du mont - la "cloche du bonheur" est suspendue en son centre)

La nuit est tombée doucement, et nous avons pu apprécié le panorama : Sapporo est magnifique avec toutes ses lumières ! Mais nous ne nous sommes pas attardés : le vent s'est levé, et la température est descendu très vite !



(j'aimerai ouvrir mes volets sur cette vue tous les matins...)

mercredi 26 août 2015

La Vallée de l'Enfer

Je n'avais pas vraiment prévue de me rendre à Noborebitsu, qui me semblait être une ville assez éloignée de Sapporo. La proposition d'une sortie de groupe m'a fait changé d'avis… Et j'en suis bien contente aujourd'hui ! En effet, cette ville très spéciale vaut le détour.



Tout d'abord, parce que les démons armés de massues sont de véritables emblèmes. On peut croiser de nombreuses statues de démons rouges et bleus, certaines atteignant des tailles spectaculaires. Des massues à pointes sont aussi déclinées sous plusieurs formes : sculptures, peluches...

(charmant accueil par des démons à la gare…)

(un démon rouge)

(un démon bleu)

Noborebitsu est connue pour sa ' Jigokudani', aussi appelée 'Hell Valley' (ou vallée de l'enfer pour les non-anglophones). Et elle porte très bien son nom : geysers brûlants, lac sulfureux, eaux grises-blanches…

(célèbre point de vue sur la vallée)

(les pancartes 'Keep Out' rappellent régulièrement aux visiteurs de ne pas s'aventurer hors des sentiers délimités)

Un peu plus loin, c'est un grand lac fumant qui nous attend.

(le lac)

Notre périple dans la ville des démons a pris fin par un bain de pied dans la rivière, où l'eau devait être naturellement à une température proche de 40°C ! Difficile d'y glisser ses orteils au début, mais passés quelques instants, on ne souhaite plus partir. C'est détendu que nous sommes finalement repartis, avec nos petons bien revigorés.

(la rivière chaude et les structures de bois pour se tremper les pieds)

(mes petons, avec une splendide trace de bronzage)

De tous les endroits que j'ai pu visiter depuis le début, Noborebitsu est l'un de mes préférés. Malgré l'abondance de touristes, il reste relativement sauvage et préservé, et ce n'est pas tous les jours que l'on peut admirer de telles créations de Mère Nature.



(c'était vraiment chouette)

dimanche 23 août 2015

Les tournesols d'Hokuryu & le zoo Asahiyama

J'ai eu la chance d'être généreusement invitée à participer à une balade dans les champs de tournesols d'Hokuryu. Cet endroit se trouve à environ 2h de Sapporo en voiture, et ce sont des amis japonais qui nous ont conduit jusque là, en louant une voiture. Nous étions un groupe hétéroclite : deux japonais, un belge, un tchèque, un malaisien et moi.



(les champs de tournesols : les gens viennent de tout Hokkaido pour les visiter!)

(un labyrinthe est ouvert au public à travers ces fleurs géantes)

(comme c'était le cas à Furano, toute la ville est aux couleurs du tournesol)

(vous aimez ma casquette? ^-^ )

Après un déjeuner bercé par les sons des tambours japonais, nous avons terminé notre balade champêtre et avons pris la route du zoo Asahiyama. Ce zoo a l'une des meilleures réputations de l'ile d'Hokkaido.

(en entrant, les flamants roses)

Il est plus grand que le zooMaruyama, et les espaces réservés aux animaux sont un peu plus spacieux. Il est aussi un peu mieux agencé. Mais j'ai toujours un peu de mal avec ce genre d'endroit, qui n'est pas parfaitement adapté aux conditions de vie naturelles des animaux. Certains animaux difficiles à maintenant en captivité (comme les ours blancs, les pingouins…) ont l'air mal dans leurs peaux et développent des troubles du comportement.

(un des quatre ours blancs du zoo)

(la meute de loups)

(un singe profitant du calme sur un rocher)

(l'hippopotame était de sortie le soir)

Nous sommes finalement rentré à Sapporo après environ 2h30 de route. Nous avons de la chance d'être des « invités », puisque nous avons pu en profiter pour dormir un peu !
Pour terminer la journée en beauté, nous avons cherché un restaurant. Après avoir essayé trois restaurant de « Soup Curry », il nous a fallu abandonner cette idée : ici, il est difficile de trouver un restaurant après 9h le soir.

Nous avons donc fini dans un restaurant d'Okonomyaki. Les ingrédients des plats nous étaient apportés bruts : à nous de les cuire sur la plat chaude qui se trouve au centre de la table.

(la préparation…)

(et la cuisson des « okonomyaki façon Hiroshima »)


Ce fut un excellent repas pour finir cette journée !